C’est un programme national avec un consortium de 7 fédérations qui rayonne sur le régional et l’implication territoriale de nos Clubs, Ligues et Comités pour la réunion de Copil qui se tenait ce mardi 15 novembre dans les locaux de la Fédération Française de Tennis de Table.
Le Comité Olympique et Sportif Île-de-France invité autour de la table a été très attentif aux échanges mais également à l’engagement des Fédérations, des Clubs, des Ligues et des Comités présents avec des témoignages de bénévoles et d’encadrants pour rendre opérationnel le programme qui agit au plus près des besoins de jeunes en demande. Inclure pour mieux appréhender l’avenir et intégrer l’histoire et les parcours des uns et des autres.
L’Association Nationale de la Performance Sociale du Sport (ANPSS) qui animait la réunion à travers la voix de sa directrice Florence Kavita accompagne les sept fédérations sportives qui s’engagent dans un projet national d’inclusion par le sport avec pour objectif d’insérer des jeunes issus des quartiers prioritaires de la politique de la ville dans le monde de l’emploi (Fédération Française de Judo, Fédération Française de Basketball, Fédération Française des Clubs Omnisports, Fédération Française de Boxe, Fédération Française de Badminton, Fédération Française de Tennis de Table, Fédération Française d’Athlétisme).
Ce projet a été co-construit avec une logique innovante de partenariat forte, marquée par la mobilisation de plusieurs clubs sportifs sur l’Île-de-France notamment. Au total, sur le plan national, le projet est implanté sur 15 territoires répartis sur 10 régions avec 37 clubs déjà engagés dans des démarches d’éducation/insertion par le sport.
Différents jeunes ayant pu bénéficier du dispositif se sont exprimés mardi 15 novembre rappelant l’impact du dispositif sur leur quotidien et dans la concrétisation de leur projet professionnel. L’engagement des associations locales présentes ont permis de mieux visualiser le travail effectué dans des quartiers souvent délaissés ou fragilisés mais où la notion de performance nationale du sport fait sens.
Face à cette mobilisation, la Présidente du Comité Olympique et Sportif Île-de-France et Présidente de la Conférence Régionale du Sport Madame Evelyne Ciriegi, qui s’est récemment entretenue avec la Co-Présidente de l’ANPSS.
Madame Brigitte Deydier a rappelé son soutien aux acteurs du dispositif « Une fois de plus, le mouvement sportif montre l’efficacité de son action et sa capacité à répondre présent face aux enjeux de terrain et de l’héritage que nous voulons construire par le Sport. Les jeunes générations doivent être encadrées et embarquées avec un message d’inclusion et de cohésion. C’est un travail à temps complet qui est demandé aux fédérations, ligues, comités qui doivent une fois de plus répondre aux urgences de terrain. Je crois beaucoup à ce programme car il permet de rassembler, de donner la chance et l’espoir aux plus fragiles pour inclure plutôt qu’exclure. Nous sommes dans une phase encore d’apprentissage mais c’est prometteur et je veux saluer l’engagement de tous les acteurs présents dans le dispositif régional et national ».
L’objectif final est d’accompagner 20 jeunes par an pour chaque club en 2 promotions (10 jeunes par promotion) soit 740 jeunes par an (dans les 37 clubs) avec pour ambition d’insérer 50 % du public qui participe au dispositif (emploi CDI/CDD, formation, entrepreneuriat…).
Inclure par le Sport, une mission collective
C’est un programme national avec un consortium de 7 fédérations qui rayonne sur le régional et l’implication territoriale de nos clubs et comités pour la réunion de Copil qui se tenait ce mardi 15 novembre dans les locaux de la Fédération Française de Tennis de Table.
Le Comité Olympique et Sportif Île-de-France invité autour de la table a été très attentif aux échanges mais également à l’engagement des fédérations, ligues et clubs présents avec des témoignages de bénévoles et d’encadrants pour rendre opérationnelle le programme qui agit au plus près des besoins de jeunes en demande. Inclure pour mieux appréhender l’avenir et intégrer l’histoire et les parcours des uns et des autres.
L’ANPSS qui animait la réunion à travers la voix de sa directrice Florence Kavita accompagne les sept fédérations sportives qui s’engagent dans un projet national d’inclusion par le sport avec pour objectif d’insérer des jeunes issus des quartiers prioritaires de la politique de la ville dans le monde de l’emploi (Fédération Française de Judo, Fédération Française de Basketball, Fédération Française des Clubs Omnisports, Fédération Française de Boxe, Fédération Française de Badminton, Fédération Française de Tennis de Table, Fédération Française d’Athlétisme).
Ce projet a été co-construit avec une logique innovante de partenariat forte marquée par la mobilisation de plusieurs clubs sportifs sur l’Île-de-France notamment. Au total, sur le plan national, le projet est implanté sur 15 territoires répartis sur 10 régions avec 37 clubs déjà engagés dans des démarches d’éducation/insertion par le sport.
Différents jeunes ayant pu bénéficier du dispositif se sont exprimés mardi 15 novembre rappelant l’impact du dispositif sur leur quotidien et dans la concrétisation de leur projet professionnel. L’engagement des associations locales présentes ont permis de mieux visualiser le travail effectué dans des quartiers souvent délaissés ou fragilisés mais où la notion de performance nationale du sport fait sens.
Face à cette mobilisation, la Présidente du Comité Olympique et Sportif Île-de-France et Présidente de la Conférence Régionale du Sport Madame Evelyne Ciriegi qui s’est récemment entretenue avec la Co-Présidente de l’ANPSS Madame Brigitte Deydier a rappelé son soutien aux acteurs du dispositif « Une fois de plus, le mouvement sportif montre l’efficacité de son action et sa capacité à répondre présent face aux enjeux de terrain et l’héritage que nous voulons construire par le Sport. Les jeunes générations doivent être encadrées et embarquées avec un message d’inclusion et de cohésion. C’est un travail à temps complet qui est demandé aux fédérations, ligues, comités qui doivent une fois de plus répondre aux urgences de terrain. Je crois beaucoup à ce programme car il permet de rassembler, de donner la chance et l’espoir aux plus fragiles pour inclure plutôt qu’exclure. Nous sommes dans une phase encore d’apprentissage mais c’est prometteur et je veux saluer l’engagement de tous les acteurs présents dans le dispositif régional et national ».
L’objectif final est d’accompagner 20 jeunes par an pour chaque club en 2 promotions (10 jeunes par promotion) soit 740 jeunes par an (dans les 37 clubs) avec pour ambition d’insérer 50 % du public qui participe au dispositif (emploi CDI/CDD, formation, entrepreneuriat…).